Investir dans le Girardin industriel peut être une opportunité séduisante pour les investisseurs fortement fiscalisés, soit plus de 2 500 euros d’impôt sur le revenu par an. La contrepartie de l’investissement est purement fiscale et ce dernier ne peut être récupéré, indépendamment du succès des opérations.
C’est pourquoi, il vaut mieux pister d’ores et déjà les pièges à éviter pour assurer la sécurité et la rentabilité de son investissement. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects du Girardin industriel, les risques potentiels et les stratégies afin de les contourner.
Les risques liés à la performance du projet
Les investissements Girardin sont souvent réalisés dans des projets à haut risque, tels que des PME ou des TPE en phase de lancement dans des régions économiquement fragiles. Rappelons que ces dernières sont les DROM COM, c’est-à-dire les territoires d’outremer. Par conséquent, il est essentiel pour les investisseurs de bien évaluer la viabilité et la rentabilité potentielle du projet avant de s'engager.
Les problèmes de gestion de l’entreprise locataire
Rappelons qu’une entreprise ultramarine est au cœur des opérations. Elle loue un matériel neuf financé par les investisseurs pendant une durée de 5 ans, puis le rachète au prix symbolique d’un euro à l’issue de cette échéance. Certaines entreprises peuvent présenter des défaillances de gestion et de management : en effet, les 3 premières années sont cruciales pour une jeune entreprise qui fait ses premières armes, ce qui peut engendrer des retards ou même des pertes financières.
La complexité fiscale
Les règles fiscales entourant le Girardin industriel sont complexes et peuvent être sujettes à des changements réglementaires. Les investisseurs doivent bien comprendre les implications fiscales de leur investissement et se tenir informés des évolutions législatives.
Comment sécuriser son investissement ?
En premier lieu, s’engager avec un monteur expérimenté qui propose des projets solides. En savoir plus sur www. cf-profina. À cela s’ajoute la nécessité de diversifier son portefeuille et d’obtenir les garanties financières et de bonne fin fiscale.
